Le Soleil est là, lalalaalaaah (Ou pas)

Aujourd’hui samedi 19 juin, 23h45, je suis enfin en vacances.

Après plus de dix mois passés dans la Ville Rose, me voilà sur le point de retourner sur mon île natale, le temps de vacances estivales.

Cette année fût riche en émotions, en souvenirs, en rencontres, en délires, en fous rires.

Tout d’abord, de fabuleuses rencontres : Loic « Stiffmaster », Hicham, Auré, Eme’, Pauline et tous les autres Infocom’ dont la liste est bien bien longue.

Des moments merveilleux : après-midi shopping, soirées au Ramier, au Frog’, au Café Pop’, à St Pierre…

Pas de nostalgie, pas de regret, seulement une grande satisfaction d’avoir vécu une aussi belle année =)

Londres 2010 – What else ?

Vacances de février 2010, dont la première semaine est marquée par un voyage à Londres. Organisé par Jey’ et moi même, regroupant toulousains, lyonnais, et un grenoblois, ce périple fût une véritable réussite.

Découverte de Londres : Victoria à South Kensigton à pied avec nos valises, Camden Town et ses punks, Big Ben au bord de la Tamise, le London Eye,  Buckingham Palace et sa garde à la coupe afro’, Oxford Street et ses innombrables magasins, Primark, l’Ikea du textile, le Tate Modern, le Museum d’Histoire Naturelle, le « Tube » au réseau le plus vaste du monde, les taxis superbes, les voitures de luxe, le climat changeant, le froid qui vous mord la peau, la bière dans les pubs (Guiness, Strongbow <3), le melting-pot (Pakistanaises  me mattant dans le métro notamment), les boutiques de souvenirs qui pullulent à chaque coin de rue, Cyberdog et son ambiance nightclub/sexshop, la chicha à Camden,  les Starbucks Coffee, les McDo’ au choix supra limité, les KFC super épicés, les Burger Kings et leurs pancakes minuscules, le buffet chinois aux mille délices (conclut par un affrontement wasabien mémorable), le burrito à Camden Town épicé à souhait (et les deux filles qui m’ont prises en photo) (la réputation de la bouffe mexicaine concernant sa dimension laxative n’est plus à éprouver), le Be At One et son happy hour mémorable (sans souvenir de l’Autrichienne)… Et j’en passe.